Le congrès national des internes de santé publique (CNISP 2021), organisé par Tours, aura lieu du 28 au 30 avril 2021 en dématérialisé. Vous trouverez sur cette page une courte biographie de chaque intervenant par session
Le CNISP 2021 se composera de 4 thématiques ( Prévention et promotion de la santé, gestion des risques, de la qualité et sécurité des soins, santé environnement, santé globale) abordées chacune dans une session et d’une sessions d’ateliers. Rendez-vous sur notre page dédiée au programme pour plus de détails.
Les intervenant(e)s du CNISP 2021 seront dévoilés au fil des semaines jusqu’au congrès. N’hésitez pas à consulter cette page régulièrement pour découvrir l’ensemble des intervenants du CNISP 2021.
Sessions : Introduction et clôture.
PU-PH en épidémiologie, économie de la santé et prévention, il dirige aussi l’équipe d’accueil EA7505 « Éducation, éthique, santé » de l’Université de Tours. En outre, il participe à plusieurs instances de démocratie en santé, notamment la Conférence régionale de la santé et de l’autonomie (CRSA) de la région Centre Val-de-Loire et la Conférence nationale de santé (CNS), dont il est Président depuis janvier 2020.
Egalement engagé dans des activités associatives, au sein de la Fédération régionale des acteurs en promotion de la santé du Centre (FRAPS) et de la Société Française de Santé Publique (SFSP), dont il est Président depuis 2017. Récemment, il a été désigné comme représentant de la CNS au sein du Comité de contrôle et de liaison COVID-19, dont il a été élu Président.
Médecin de santé publique, diplômé d’économie de la santé, de droit social du travail et d’éthique. Après avoir exercé au siège des hôpitaux de Paris, a été médecin-chef de la prison de Fleury-Mérogis et a eu des fonctions au sein de plusieurs cabinets ministériels. A exercé à la Haute autorité de santé puis en qualité de contrôleur délégué du Contrôleur général des lieux de privation de liberté avant de rejoindre en 2010 le secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales pour participer à la mise en place puis au suivi du réseau des Agences régionales de santé (ARS).
Actuellement directeur général adjoint de l’ARS du Centre-Val de Loire, il est aussi membre de la Chaire santé de l’Institut d’Etudes politiques de Paris (Sciences Po) au sein de laquelle il intervient.
Nicolas Lechopier mène des recherches sur les questions sociales éthiques et politiques soulevées par les programmes de santé publique. Il s’est notamment intéressé à l'usage des données personnelles dans la recherche épidémiologique (Les valeurs de la recherche, Michalon, 2011, Prix de thèse de la CNIL), à la participation des personnes concernées aux recherches en santé-environnement (« Ethique et justice dans les recherches participatives » 2011), aux formes de surveillance en médecine et santé publique (séminaire 2014-2016), aux tensions qui traversent les dépistages des cancers («accompagner et prévenir », 2017), et aussi à l’épistémologie des recherches interventionnelles en santé des populations (« Peut-on expérimenter en santé publique? » 2019).
Nicolas Lechopier enseigne les humanités et les sciences sociales auprès des étudiants et étudiantes en médecine. Il est l'ancien président et actuel membre du bureau du collège des humanités médicales. Il appuie localement et nationalement les initiatives visant à permettre aux patients de contribuer activement à la formation des médecins (PACTEM, 2015-2020). Il est également administrateur de l’association Santé commune, qui porte à vaulx-en-velin un centre de santé communautaire qui porte au cœur de son projet la médiation santé.
Session : Prévention et promotion de la santé.
Diplômée de Santé publique, d'Economie de la Santé, et Master de Management par la qualité, elle a contribué pendant de nombreuses années aux missions de la Haute Autorité de Santé. Elle est responsable du modèle organisationnel: Parcours coordonné ville-Hôpital pour l'arrêt du tabac, mis en oeuvre depuis 3 ans en Gironde. Enseignante en Formation médicale Continue à la faculté de Bordeaux, elle est associée à plusieurs travaux universitaires de recherche en prévention. Elle est membre du CA de la Société Francophone de Tabacologie
Suite à un double cursus d’Experte en Nutrition publique et d’Enseignante, elle s’est spécialisée dans l’étude de la promotion de la santé par l’éducation. Membre du Réseau UNIRES et du laboratoire LIRDEF, elle participe activement à la recherche sur les enjeux de l’éducation à la santé en France et à l’étranger.
Elle est responsable du nouveau Master RESODDE-ESEC (Responsabilité Sociale et Développement Durable en Entreprise- Educations Santé, Environnement, Citoyenneté) de la Faculté d’Education de Montpellier qui vise à former des éducateurs en santé « durable ».
Médecin Infectiologue depuis 2009 au CHRU de Tours, il coordonne le CeGIDD 37 depuis 2016 et préside le COREVIH depuis 2017.
En partenariat avec l'association AIDES, il participe à l'évaluation de la téléconsultation dans le traitement préventif du VIH. Il a participé à l'organisation de deux hackathons (VIHACK) en 2018 et 2019 rassemblant représentants d'usagers, professionnels des nouvelles technologies et soignants. Membre du conseil d'administration de la SFLS.
Docteur en psychologie, elle a travaillé pendant 10 ans comme chercheur dans le champ de la santé des adolescents et des jeunes, en France et à l’étranger. Elle a poursuivi sa carrière notamment à l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) et la Fondation de France, avant de prendre la direction de l’Instance régionale d’éducation et de promotion de la santé (IREPS) de Bretagne.
Depuis 2016, elle participe à la mise en oeuvre des missions de la Fnes : animation et soutien au réseau des structures adhérentes, plaidoyer pour la promotion de la santé auprès des institutions nationales, développement de partenariats et coordination de projets nationaux, comme la démarche "PJJ promotrice de santé" ou le volet santé des Cités éducatives.
Engagée depuis de nombreuses années dans les domaines de la prévention et de la santé publique, Elodie Aïna est aujourd'hui Directrice de l'association Vers Paris Sans Sida. Coordinatrice des programmes VIH et co-fondatrice du programme national de prévention auprès des migrants et des populations des DOM au sein de Santé Publique France où elle a travaillé pendant 13 ans, elle devient ensuite responsable de la communication de La Croix Rouge Française. Elle a également créé l'agence de communication We Love Stories. Avant de devenir Directrice chez Vers Paris sans sida, elle y a assuré la conception et la réalisation des campagnes VIHTEST, dispositif de dépistage gratuit en laboratoire, ainsi que la stratégie de communication destinée aux populations africaines et afro-descendantes.
Chargée de communication et community manager de l'association Vers Paris Sans Sida, elle est spécialiste de la communication ciblée auprès de populations clés du VIH. Elle y est notamment créatrice de contenus digitaux en santé sexuelle à destination des jeunes membres de la communauté LGBTQI+ dans le cadre du dispositif DrNaked. Ancienne rédactrice en chef d'une newsletter féministe pour adolescentes, elle a également mené une campagne politique en faveur du libre accès à des protections périodiques dans les établissements scolaires. Tout au long de son parcours, elle a milité aux côtés de plusieurs associations telles que Les Soeurs de la Perpétuelle Indulgence ou le Planning Familial.
Titulaire d’un doctorat en psychologie, il est chargé d’expertise scientifique en santé publique à la Direction de la prévention - promotion de la santé (DPPS) à Santé publique France.
Il a pour mission de favoriser l’expérimentation et l’évaluation de programmes de prévention prometteurs basés sur le renforcement des compétences psychosociales en milieu scolaire et de suivre leur déploiement national lorsqu’ils se sont révélés probants.
Militante à AIDES depuis 1995, sage femme de PMI pendant 30 ans.
Attachée au travail avec les populations les plus vulnérables en termes de santé, dans une dynamique de transversalité avec par exemple, la création du staff médico-psycho-social dans le 28, ou la construction et la mise en œuvre du Corevih depuis 2007.
Au sein de AIDES, en charge du dossier sur la démocratie sanitaire ; la recherche communautaire, les actions internationales, la démarche qualité mais aussi la formation, pilier de la cohésion associative, commune aux salariés et aux volontaires en constante adaptation au projet politique évoluant avec les épidémies de VIH et des hépatites.
Elle travaille depuis une quinzaine d’années dans le domaine de la santé publique, principalement sur la thématique des conduites addictives (tabagisme, vapotage, consommation d’alcool, de drogues illicites, pratique des jeux d’argent et de hasard). Actuellement, à SpF, elle encadre une équipe pluridisciplinaire dont les missions sont : observation et suivi des comportements, attitudes et connaissances relatifs aux conduites addictives (enquêtes Baromètres de Santé publique France) ; veille scientifique sur les actions de prévention efficaces ; mise en œuvre des actions nationales de prévention, en particulier celles qui s’appuient sur les techniques du marketing social ; évaluation des actions de prévention des conduites addictives.
Elle est membre du Haut Conseil de Santé Publique, membre du Conseil Scientifique de l’Observatoire Français des Drogues et Toxicomanies. Ses activités de recherche portent sur la prévention des comportements à risque. Plus précisément, ses travaux portent sur l’analyse des stratégies marketing et lobbying des industriels du tabac et de l’alcool et la prise en compte de ces stratégies commerciales pour établir des programmes de prévention plus efficaces. Elle travaille également sur l’utilisation du marketing par les organismes non marchands (établissements de santé, associations). Elle a coordonné et rédigé plusieurs ouvrages sur le marketing social (presses de l’EHESP, 2019) et la communication et le marketing des associations (Dunod, 2021).
Session : Gestion des risques, de la qualité et sécurité des soins.
Le Pr Pulcini coordonne l'axe interdisciplinaire ANTIBIOVAC au sein de l’unité de recherche en santé publique de l’université de Lorraine. Elle a plus de 240 publications scientifiques à son actif avec un H-index à 30 (Web of Science). Elle a reçu de l’ESCMID (European Society for Clinical Microbiology and Infectious Diseases) le prix du meilleur jeune chercheur en 2017. Elle est, ou a été, experte pour de nombreux groupes de travail sur le bon usage des antibiotiques en France et à l’international, notamment pour l'Organisation mondiale de la santé (OMS), l’ECDC ou l’ESCMID.
Sur le plan universitaire, il enseigne à la faculté de médecine les UE relatives à l’hygiène hospitalière et à l’épidémiologie des maladies infectieuses transmissibles. Il est le directeur pédagogique du DU "Hygiène et Epidémiologie Infectieuse" et co-directeur pédagogique du Master 2 international One Health Man-imal. Il effectue ses activités de recherche au sein d’une équipe émergente 1701 S MiHAR qu’il codirige, sur la thématique « Microbiotes, Hôte, Antibiotiques et Résistance bactérienne .
Au niveau national, Didier Lepelletier est vice-président de la Commission spécialisée "Système de santé et sécurité des patients " et co-président du groupe de travail permanent Covid-19 au sein du Haut Conseil de la santé publique (HCSP). Il est également membre du Conseil d'Administration de la Société française d’hygiène hospitalière.
Le Dr Solen Kernéis est médecin infectiologue et spécialiste en prévention et contrôle de l’infection. Elle a dirigé l’Equipe Mobile d’Infectiologie des Hôpitaux Universitaires Paris Centre entre 2013 et 2020 où elle a coordonné un programme multidisciplinaire de bon usage, puis a rejoint l’Equipe de Prévention du Risque Infectieux de l’hôpital Bichat en septembre 2020. Elle exerce son activité de recherche dans l’unité IAME U1137 (INSERM/Université de Paris) et le laboratoire EMAE de l’Institut Pasteur. Ses travaux portent sur les stratégies de prévention de l’infection et de la résistance aux anti-infectieux par des approches épidémiologiques et de modélisation mathématique. Elle est membre de la Commission des Anti-Infectieux de l’APHP et coordonne le groupe Bon Usage de la SPILF qui a pour vocation d’établir une interface entre les partenaires impliqués dans la lutte contre l'antibio-résistance (tutelles, agences, autres sociétés savantes), promouvoir et soutenir les projets contribuant à améliorer le bon usage des anti-infectieux, et mettre à disposition des outils pour faciliter l’activité des référents en anti-infectieux.
Muriel Vayssier-Taussat, PhD, est microbiologiste directrice de recherche à l'INRAE (Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement) où elle exerce depuis 2017 les fonctions de chef du département Santé Animale. Elle dirige également l’Institut Carnot France Futur Elevage. De 2007 à 2017, elle a dirigé une équipe travaillant sur les maladies transmises par les tiques. Elle a publié une 100aine d’articles sur le sujet. Son parcours l’a amené à travailler à la fois dans le secteur animal (à l'INRAE) et humain (Institut Cochin à Paris et la Harvard Medical School à Boston)
La lutte contre l’antibiorésistance est une priorité de recherche du département qu’elle dirige.
Spécialiste d’histoire urbaine, d'histoire de la santé, et d'histoire environnementale, il préside le Réseau universitaire de chercheurs en histoire environnementale. Il travaille actuellement sur les réactions de la société française à la pollution de l’air au XXe siècle, et sur la “transition environnementale” de l’agglomération lyonnaise depuis un demi-siècle.
Il a publié notamment Propre et sain ! Un siècle d’hygiène à l’école en images, Paris, Armand Colin, 2015 (avec Didier Nourrisson), Les batailles de l’hygiène. Villes et environnement de Pasteur aux Trente Glorieuses, Paris, PUF, 2013 et avec Patrick Fournier et Sophie Chauveau, Hygiène et santé en Europe de la fin du XVIIIe siècle aux lendemains de la Première Guerre mondiale, Paris, SEDES, 2011.
Philippe Michel est Président de la Commission spécialisée système de santé et sécurité des patients, et membre du Collège du Haut Conseil de la Santé Publique. Il est membre du conseil scientifique de la CNAM. Il est Président de l’Institut Français de l’Experience Patient. Il est également membre de l’U Inserm 1290 RESHAPE.
Il a été directeur de l’évaluation des stratégies de santé à la Haute Autorité de santé (HAS) entre 2005 et 2007, et directeur de la structure régionale d’appui à la qualité et la sécurité des soins en Aquitaine (CCECQA) pendant quinze ans.
Il a été membre du groupe de travail, en 2013, du rapport « Pour l’An II de la démocratie sanitaire ».
Il a été responsable des deux études ENEIS et de l’étude ESPRIT en France. Il a rédigé deux guides sur la gestion des risques pour l’OMS et réalisé plusieurs études épidémiologiques dans les pays émergents et en développement.
Session : Santé environnement.
Titulaire d'un doctorat en santé environnementale, le Dr Albouy est coordinatrice d'un projet d'expologie et d'épidémiologie étiologique environnementale (cohorte EDDS). En s'intéressant au développement des aptitudes individuelles et à la création de milieux supportifs, elle a construit un projet de recherche interventionnelle en santé des populations baptisé PREVED (Pregnancy, Prevention, Endocrine Disruptor), soutenu par la Fondation de France, avec un fort volet psychosocial. Actuellement en mobilité dans le Centre de Recherche sur la Cognition et l'Apprentissage (CeRCA). Au niveau local, elle préside la société de santé publique Poitou-Charentes.
Arrivé en 2004 en France (av. Finlande, Suède, Allemagne) et passionné par la santé environnementale, j’ai créé ma première association pour traduire les données scientifiques en actions concrètes sur le terrain et engager le plus large public (collectivités territoriales, entreprises, établissements de santé, bureaux d’architectes...) dans une véritable conduite de changement. Durant mon parcours, j’ai développé de nombreux outils permettant ce changement de façon durable, simple et efficace comme par exemple le « cartable sain », « nettoyage sain », « bâtiment sain », ainsi que des outils « biodiversité-santé ». Créateur du label « Maternité saine » en 2010, celui-ci a créé une véritable dynamique régionale soutenue par l'ARS Nouvelle-Aquitaine.
Enseignant chercheur à l’EHESP de Rennes, au sein du département Santé Environnement Travail et Génie Sanitaire, Cyrille Harpet conduit des travaux sur trois thématiques de santé publique : en urbanisme et santé publique (objet de son habilitation à diriger des recherches), sur les inégalités sociales de santé, sur la perception des risques en santé environnement.
Pierre Lebailly est maître de conférences en santé publique à l’université de Caen-Normandie et conduit ses recherches au sein de l’unité INSERM Anticipe au Centre de Lutte contre le Cancer François Baclesse. Depuis plus de 20 ans, il s’intéresse au risque de cancer en milieu professionnel agricole par des approches épidémiologiques (différentes cohortes dont la cohorte AGRIculture & CANcer), d’expologie (mesures sur le terrain des expositions aux pesticides notamment) et d’épidémiologie moléculaire (recherche de biomarqueurs d’imprégnation et d’effets biologiques précoces).
Jean-Noël Jouzel travaille sur les controverses liées aux enjeux de santé environnementale et de santé au travail. Dans une perspective croisant science studies, sociologie de l’action publique et sociologie des mobilisations, ses recherches participent à l’essor actuel des travaux sur la construction sociale de l’ignorance. Ses enquêtes actuelles portent sur les pesticides et leurs effets sur la santé des populations exposées (travailleurs et riverains), sur la surveillance des risques chimiques liés aux nanomatériaux, et sur le rôle de la médecine hospitalière dans la connaissance et la reconnaissance des maladies professionnelles.
Après un parcours universitaire en santé publique, Isabelle BALDI est professeur en médecine du travail à l'Université de Bordeaux et praticien hospitalier au CHU de Bordeaux.
Elle dirige l'équipe EPICENE au sein de l'Unité INSERM 1219 (BPH) dont les activités portent principalement sur l'épidémiologie des cancers et les expositions environnementales.
Elle mène des recherches épidémiologiques sur les liens entre environnement professionnel et santé, notamment sur la thématique des expositions agricoles.
Elle coordonne le parcours Santé Travail Environnement du Master de Santé Publique de l'ISPED à Bordeaux.
Session : Santé globale.
Enseignant à l'Université de Montpellier puis Professeur à l'EHESP et co-responsable d'une filière du Master of Public Health, (affichée Erasmus Mundus) où il enseigne la problématique "Changements globaux et santé". Expert à l'OMS, il est aussi membre du Comité national français sur les changements globaux (CNFCG) et ancien membre du Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) où il a été en charge de plusieurs rapports officiels de l’Etat, dont un sur les maladies infectieuses émergentes.
Fondateur de l’Ecole des Hautes Etudes en Santé Publique (Rennes) qu’il a dirigé de 2007 à 2012. Il a mené des recherches en modélisation mathématique des épidémies ; a dirigé le centre collaborateur de l’OMS pour la surveillance électronique des maladies ; a coordonné les recherches sur le Chikungunya dans l’Océan Indien et sur l’arc Antilles-Guyane (Prix Inserm 2006) ; est membre de la Swiss National COVID-19 Science Task Force (2020-21). Il a présidé en 2016 le World Health Summit, l’Alliance M8, et depuis 2016 le Geneva Health Forum.
Agnès Buzyn a occupé le poste de ministre française des Solidarités et de la Santé de 2017 à 2020. En 2016, elle a été nommée présidente de la Haute Autorité de Santé (HAS) en charge notamment de l'évaluation des technologies de santé. Entre 2011 et 2016, le professeur Buzyn a été présidente exécutive de l'Institut national du cancer (INCa), où elle a rédigé et mis en œuvre le plan national de lutte contre le cancer 2014-2019. Durant la même période, elle a représenté le gouvernement français au conseil d'administration du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) et a été élue vice-présidente du CIRC en 2015. De 2008 à 2013, elle a présidé le conseil d'administration de l'Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).
Elle a effectué une grande partie de sa carrière en tant que PU-PH d'hématologie à l'hôpital Necker de l'Université Paris Descartes. Auparavant, dès 1995, elle a mené des recherches à l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) où elle a dirigé une équipe sur l'immunologie des tumeurs.
Ateliers : Méthode et outils.
Mme Colas accompagne des professionnels, bénévoles et étudiants dans la construction de leurs actions de prévention. Elle anime des formations autour des concepts clés de la prévention et promotion de la santé et coordonne des groupes de travail sur différentes thématiques (santé sexuelle, aide alimentaire, etc.)
Co-anime le déploiement de la démarche de capitalisation des expériences en promotion de la santé. Diplômé de l’école HEC et d’un master en économie de la santé à l’université Paris-Dauphine. Précédemment Secrétaire général de l’association Solidarité Sida. A exercé pendant 10 ans en tant que consultant en organisation des structures de santé et médico-sociales.
Ancien interne des hôpitaux de Paris, a notamment mené des études sur les données SNDS pour l'Institut National du Cancer et l'Agence Régionale de Santé Ile-de France au cours de son internat.
Référent national sur la mission d’appui aux utilisateurs des données de santé SNDS PMSI pour les SI mutualisés des ARS du Ministère des Affaires Sociales.
Egalement formateur institutionnel sur le SNDS.
Après avoir dirigé des hôtels et des établissements de santé, Olivier TOMA s’est consacré à la création et l’animation du Comité pour le Développement Durable en Santé ( C2DS) et de l’agence Primum Non Nocere®. Ces structures impulsent la démarche de santé environnementale dans de très nombreux établissements de santé en France et auprès de PME de tous secteurs.
Il anime le DU "droit et gestion du développement durable en santé" de la faculté de droit de Montpellier et intervient dans de nombreux colloques, conférences et formations.
Auteur de deux ouvrages "le développement durable et solidaire en santé "aux éditions LEH et "Hippocrate au secours" aux éditions Pearson, il anime le blog "politique de santé".
Il assure avec son équipe, des missions de coaching RSE, d’éco-conception des soins, de réduction d’empreinte carbone et santé et est spécialiste des sociétés à mission.
Médecin de santé publique au CNSPFV, en charge de la collecte et de l’analyse des données relatives à l’accompagnement de fin de vie et aux soins palliatifs afin d’améliorer les connaissances sur les conditions de la fin de vie en France.
Coordinateur de la deuxième édition de l’Atlas national des soins palliatifs et de la fin de vie.
Issue des sciences humaines et sociales et formée en éthique clinique, elle est chargée de mission au CNSPFV. Elle participe aux missions de suivi des politiques de santé publique et d’information aux citoyens, en particulier sur le sujet des directives anticipées et de la personne de confiance. Elle coordonne et anime le Living Lab sur les outils d’aide à la rédaction de directives anticipées.
Directeur du Centre National des Soins Palliatifs et de la Fin de Vie. Ancien responsable du département Prévention et Promotion de la Santé, personnes en difficultés spécifiques et soins de psychiatrie de l’ARS Ile de France.
Ma mission consiste à sensibiliser aux impacts indirects de projets sur la santé, à soutenir acteurs et décideurs franciliens désireux de passer à l’action dans le cadre de partenariats, de démarches de santé publique. L’approche adoptée est celle de la « santé dans toutes les politiques » qui conduit à mener des actions de plaidoyer auprès des cibles, des évaluations d’impact sur la santé de projets, programmes ou politiques. In fine, il s’agit de prendre part au processus de la promotion de la santé tel que décrit par la charte d’Ottawa (1986) : « processus social et politique globale qui comprend des actions visant à renforcer les aptitudes et les capacités des individus mais également des mesures visant à changer la situation sociale, environnementale et économique, de façon à réduire ses effets négatifs sur la santé publique et sur la santé des personnes ». La vision : des projets, programmes et politiques de meilleure qualité et durables favorisant la santé de l’individu et de fait la prospérité de la société.
Double parcours à la fois en sociologie (formation initiale) et de santé publique en promotion de la santé.
Arrivée en santé publique grâce au monde associatif, via une association dont l’objectif principal portait sur la santé des jeunes, leur vie affective et sexuelle dans le contexte de pandémie du SIDA.
La rencontre avec le Pr Descamps lui permet d’entrer dans l’univers de la santé publique, en intégrant l’équipe de recherche du centre de médecine préventive de Nancy, sur la santé des adolescents et des jeunes. Puis elle a occupé différents postes, consultante, responsable d’un service de prévention/promotion de la santé au sein d’une mutuelle, chargée de mission à la SFSP...
Titulaire d’un Master en économie sociale et solidaire action publique David Muller est très impliqué dans le monde associatif en tant que bénévole et salarié. Après avoir occupé des postes de direction au sein de la Fédération des centres sociaux, il a « bifurqué » vers la santé publique via des fonctions de coordination de réseaux de soins, réseau de santé mentale. Il est chargé de projet à l’Institut Renaudot en charge, notamment, de la formation depuis 2016. Il accompagne aussi de nombreuses démarches communautaires en santé parmi lesquels en ce moment des équipes de MSP. A titre bénévole il a notamment été président du mouvement des réseaux d’échanges réciproques de savoirs.
L’ordre dans lequel les intervenants apparaissent sur cette page ne suit pas un sens particulier.
Si vous avez des questions ou pour tous commentaires n’hésitez pas à nous contacter.